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LES RENDEZ-VOUS
DE THÉRÈSE FOURNIER

Le 11 août 2023 à la Biennale du livre de l'Île d'Yeu

Biennale du livre de l'Île d'Yeu

Retrouvez Thérèse  Fournier le 11 août 2023 à la Biennale du livre de l’île d’ Yeu. La plus grande île de l’hémisphère nord, le « Groenland », s’invite sur la plus méditerranéenne des îles du golf de Gascogne. Invité d’honneur Erik Orsenna.

Le 15 septembre 2022, signature de Groenland et lecture de textes  par Lola Pol à l’Espace L’Harmattan à Paris.

Groenland à l'Espace L'Harmattan Paris

Pour une rentrée parisienne c’en était une ! La température estivale était au rendez-vous et tous voulaient un exemplaire dédicacé de Groenland. Moins d’une demi-heure après le début de la signature, plus de livres ! Heureusement, l’héroïne de Groenland, Lola Pol, élève du cours de théâtre Acquaviva, était là pour nous enchanter avec un extrait du livre intitulé  « Corrida de phoque ». Juste avant le passage du cap Farvel, à la pointe sud du Groenland, le trio assiste à une chasse au phoque soit disant traditionnelle. 

En septembre 2022, la médiathèque Marguerite Yourcenar dans le XVème à Paris, acquiert Groenland. 

Cette grande bibliothèque de lecture publique, présentant ses ouvrages sur 4 niveaux, est notamment spécialisée dans les domaines de l’écologie citoyenne et du développement durable. En effet, Groenland réactualise le témoignage autour de ce  vaste  territoire fait de glace et de fjords. Il est aujourd’hui devenu un symptôme criant du réchauffement climatique.

Du 5 au 9 octobre 2022, à l’occasion du 25ème Rendez-Vous de l’Histoire de Blois, consacrés à la Mer, Groenland est en bonne place sur la table de valorisation

Parceque la plus grande île de l’hémisphère nord est entourée de plus de mers que n’en comptent une main, mer du Labrador, de Baffin, de Lincoln, de Wandel, du Groenland et d’Irminger, parceque la Mer est le seul moyen de communication au Groenland qui ne compte que 150 kilomètres de routes dont 60 sont goudronnées, parceque les glaciers qui fondent font monter le niveau global des mers du globe, de nombreux spécialistes de la mer se sont retrouvés aux 25ème Rendez-Vous de l’Histoire de Blois, où Groenland a eu une excellente visibilité, en présence d’ Erik Orsenna et d’Isabelle Autissier.  

Du 9 septembre au 6 novembre 2022 à la maison du Danemark aux Champs Elysées, Groenland est un élément de l’exposition Dorte Mandrup, architecte réalisatrice de l’Ilulissat Icefjord Center.

 Il fallait, il faut passer par le Danemark, étape obligé de tout cheminement physique et psychologique vers le Groenland. Le Groenland est une province autonome danoise et les deux peuples, les danois d’un côté, et les inuits de l’autre – ils sont 50 000 au Groenland, 150 000 dans l’arc circumpolaire, Canada, Etats-Unis et Russie inclus – entretiennent des relations ambigües d’amour.

Rebecca Graversen, chargée de projets culturels et de presse à l’ambassade du Danemark – ambassade royale du Danemark pour être précis -, rencontrée à la maison du Danemark, aux Champs Elysées à Paris, n’y va pas par quatre chemins. D’emblée on se tutoie – parcequ’au Danemark, le vouvoiement est réservé à la Reine -, et cette brune charpentée et souriante aux yeux noisette, me confie que « assez » du    Groenland touristique, la pamoison devant les icebergs et les maisonnettes colorées -, ce qui l’intéresse, elle, ce sont les thèmes d’identité et de culture ! Un débat est en cours d’organisation…

La maison du Danemark aux Champs Elysées à Paris est très active, conférence, expositions, à travers son espace Le Bicolore. Elle propose du 9 au 6 novembre 2022 une exposition d’œuvres architecturales de Dorte Mandrup, qui a réalisé à Ilulissat, entre la ville et le glacier, Jacobshaven Isbrae, ou Sermeq Kujalek, classé  patrimoine de l’humanité de l’Unesco,  un bâtiment futuriste, un observatoire à glacier nommé Ilulissat Icefjord Center. Elle le compare au vol d’un harfang, cette chouette blanche des neiges aux yeux jaunes… Et il fallait que Groenland y soit puisque l’incroyable voyage, ce Récit d’une navigation commence à Ilulissat !

Juin 2019 : reportage au salon du livre Périgord-Limousin

La trilogie arabe de Thérèse Fournier au salon du livre Perigord-Limousin de Lanouaille

Entre Haute-Vienne et Corrèze, malgré la canicule, 7ème grand messe du livre de Dordogne, les 28 et 29 juin 2019 à Lanouaille, avec PPDA en invité d’honneur.

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Lanouaille

Venant de Paris et arrivant à Limoges, ce vendredi 28 juin, c’est comme si j’étais rentrée dans un four. Nathalie la charmante taxiste nous attend, Oscar Coop-Phane, auteur chez Grasset de « Le procès du cochon » et moi.

Nous traversons 60 kilomètres de campagne de Haute-Vienne vallonée et brûlante parsemée de châtaigniers centenaires sous lesquels sont affalés moutons et vaches limousine, direction la Dordogne. « Beaucoup de pommes et de châtaignes » commente Nathalie. « Des madeleines Bijou et des noix ».

Nous arrivons à Lanouaille – Le thermomètre s’entête à 40 degrés -,bourg de 1000 habitants, enfant chéri du député de Dordogne Jean Pierre Cubertafon où a lieu chaque année depuis maintenant 7 ans, le salon du livre Périgord-Limousin.

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Jean Pierre Cubertafon

En ouverture dans la cour ombragée de platanes de la mairie, face à un parterre d’opéra, Hubert Védrine, Raphael Lioger, Denis Tillinac et André Bercoff débattent de l’exception française sous la houlette d’Axel Monnier de TF1 et LCI. La soirée finira chez le député Jean Pierre Cubertafon au Moulin de Lanouaille.

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Denis Tillinac, André Bercoff, Axel Monnier,  

Hubert Védrine, Rafael Liogier

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Le lendemain, Patrick Poivre d’Arvor s’est joint à nous au petit déjeuner du domaine d’Essendiéras, ancienne demeure XVIème de l’académicien André Maurois. Président d’honneur du salon il présente son dernier roman « La vengeance du loup » chez Grasset et défend les vertus de la lecture face au tout à l’électronique.

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Thérèse Fournier et Patrick Poivre d’Arvor

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Le petit-déjeuner d’Essendiéras

Dans l’étuve ambiante, un café Littéraire rentrera au coeur de la création littéraire avec Oscar Coop Phane, Corinne Javelaud, Jean Pierre Meynard et moi-même.

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Thérèse Fournier, Corinne Javelaud,

Corinne Dubois, Jean Pierre Meynard.

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Oscar Coop Phane

De dédicace en dédicace, l’encre ne sèche pas à Lanouaille alors que le maire Jean-Christophe Boulanger remet le prix de la pomme d’or.

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60 auteurs dont une 50taine, « auteurs régionaux » – qui vivent sur place et creusent l’histoire locale dans romans historiques et essais – sont réunis en rangs serrés sous la tente brûlante.

Sous la cour ombragée de platanes, un repas nous régale de cuisses de canard et de haricots à la couenne – histoire de ne pas oublier où l’on est.

La journée s’achève, brûlante et passionnante. L’homme aux lunettes cerclées de bleu, Jean Pierre Cubertafon, et sa très efficace attachée, Diana Delahaye, ont été partout présent, pour saluer la « ruralité littéraire, qui est tout sauf terre-à-terre », comme le dit l’ancien et célèbre journaliste de Sud-Ouest Alain Bernard.

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Diana Delahaye et Jean Pierre Cubertafon

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Alain Bernard

Salvador Dali avait déclaré la gare de Perpignan le centre du monde, et fort possiblement, Lanouaille devint ce jour-là, le centre d’un monde gourmand, exigeant et unique.

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Mars 2019 : reportage au salon du livre de Paris

La Trilogie arabe de Thérèse Fournier à Livre Paris 2019.

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Paris est toujours une fête lorsqu’il se vêt de son salon du livre

Pour sa 38ème édition, du 15 au 18 mars 2019, l’Europe était à l’honneur et Bratislava la ville invitée.
Alors que jeudi soir on se bousculait dans les allées du salon où Vincent Montagne, président du Cnl déambulait avec le ministre de la culture, Franck Riester, l’orchestre national d’Oman, invité spécial, entamait une symphonie arabo-andalouse.


Comme depuis plusieurs années le groupe Hachette boudait l’événement. Impossible, donc, d’aller au stand JCLattès, premier éditeur de « L’olivier bleu », premier roman de la trilogie arabe.


Vendredi l’illustrateur Plantu sur la scène « les coulisses de l’edition » débattait sur le thème, « Morale et Littérature, des liaisons dangereuses » alors que le thème vie privée/fiction était diversement abordé, « écrire l’intime » avec Philippe Besson, ou « le spectacle de la vie privée ».


Un peu plus tard la veuve d’André Schwartz-Bart, Simone, revenait avec passion sur le roman majeur, prix Goncourt 1959, « Le dernier des justes ».

Le présentateur et écrivain Christophe Ono-dit-Biot, quant à lui, aura eu la chance de faire danser tour à tour deux monuments : le philosophe allemand Peter Sloterdijk sur la scène Europe, et l’extraordinaire et pétillant prix Nobel de littérature 2006, Orhan Pamuk, pour son dernier roman « La femme aux cheveux roux ». Insatiable, articulant l’anglais qu’il martèle avec force geste, l’extraterrestre nous tient en haleine avec le grand thriller de la littérature et de la création qui trouve son apogée dans son « musée de l’innocence » à Istanbul, où il réunit et expose les « objets » de son livre éponyme. Par une incroyable inversion de forces, Orhan Pamuk nous raconte aussi que les artistes turques, aujourd’hui habitués des prisons, les ont transformées en dernier salon où l’on lit.


Katherine Pancol, elle, passera l’après-midi du dimanche à dédicacer l’ensemble de ses livres au « Livre de poche » et offrira son immense sourire et sa joie de vivre à ce dernier public du salon, le lundi étant journée professionnelle.

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Peter Sloterdijk et Christophe Ono-dit-Biot

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Thérèse Fournier avec Anne Christine Fournier et Katherine Pancol

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Ghazi Berro, éditeur de « Nador » en arabe et Thérèse Fournier.

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Avec Oscar Lembeye de Créative Handicap

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Simone Schwarzt-Bart

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Novembre 2018 : reportage à Beyrouth

La Trilogie arabe de Thérèse Fournier était à l’honneur au 25ème Salon du livre francophone de Beyrouth, le 9 novembre 2018.

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La Trilogie arabe de Thérèse Fournier

au Salon du livre de Beyrouth 2018.

Au 25ème salon du livre francophone de Beyrouth, le 9 novembre 2018, au bien nommé Stand arabophone Oser dire, la Trilogie arabe de Thérèse Fournier était à l’honneur, avec un groupe de participants passionnés.

Le Professeur Antoine Messarra, membre du conseil constitutionnel du Liban, titulaire de la chaire Unesco d’études comparées, éditorialiste au fameux quotidien L’Orient-Le Jour, essayiste à ses heures, s’était joint à Nassib Aoun, traducteur de la trilogie, ancien imprimeur et professeur d’arts graphiques, pour un débat dense dirigé par la Docteure Roula Zoubiane, de l’Université Libanaise.

L’Olivier bleu, 2028 et Nador ont été passés au crible de leur analyse, racontant la vie des femmes, des citoyens et des sociétés dans le monde arabo-musulman.

Vision réaliste et inquiète, très prémonitoire, d’un monde dans lequel a vécu l’auteur. À l’issu du débat, Ghazi Berro de Oser dire éditions, s’ est proposé de publier Nador en arabe – 2028 étant déjà disponible dans cette langue.

L’arabe est en effet la langue officielle de cette République confessionnaliste de 6 millions d’habitants – la répartition du pouvoir est proportionnelle au poids de chaque communauté religieuse -, où la langue française est très présente même depuis l’indépendance de 1943. Le Liban est un pont entre les langues et les cultures.

Vous trouverez ci-après les textes de Nassib Aoun et d’Antoine Messarra.

La Trilogie arabe de Thérèse Fournier, par Nassib Aoun 


La Trilogie arabe de Thérèse Fournier, par Antoine Messarra 

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À la librairie Le Point, Thérèse Fournier

et son traducteur en arabe, Nassib Aoun.

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Beyrouth, entre tradition et modernité.

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L’éditeur Ghazi Berro des éditions Oser dire et Thérèse Fournier sur le stand arabophone de la maison d’édition.

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Le 9 novembre 2018 au stand arabophone Oser Dire.
Nassib Aoun, traducteur en arabe de la trilogie, Antoine Messarra,
journaliste, écrivain, homme politique, membre du conseil constitutionnel, et Thérèse Fournier.

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